L’Optima est le nom de modèle de course le plus ancien de Kia après le Sportage. La première génération a été introduite en 2000, en tant que successeur du Credos (qui n’a jamais été disponible chez nous) et était techniquement identique à la Hyundai Sonata alors existante. Cette Optima de première génération figurait dans les listes de prix chez nous en Europe sous le nom de Magentis. Cependant, ce premier modèle et la deuxième génération de 2005 étaient spécifiquement adaptés aux États-Unis et à d’autres pays où les grandes berlines étaient très demandées. Ici en Europe, le consommateur s’est avéré avoir des souhaits différents, ce qui signifie que les ventes n’étaient pas bonnes.
L’Optima est le nom de modèle de course le plus ancien de Kia après le Sportage. La première génération a été introduite en 2000, en tant que successeur du Credos (qui n’a jamais été disponible chez nous) et était techniquement identique à la Hyundai Sonata alors existante. Cette Optima de première génération figurait dans les listes de prix chez nous en Europe sous le nom de Magentis. Cependant, ce premier modèle et la deuxième génération de 2005 étaient spécifiquement adaptés aux États-Unis et à d’autres pays où les grandes berlines étaient très demandées. Ici en Europe, le consommateur s’est avéré avoir des souhaits différents, ce qui signifie que les ventes n’étaient pas bonnes.
Plus européen
En 2010, la troisième génération est apparue, qui figurait désormais également dans nos livres sous le nom d’Optima. La voiture était toujours un frère jumeau technique de la Sonata, mais un troisième membre a été ajouté sous la forme de la Hyundai i40 plus orientée vers l’Europe. L’Optima elle-même était désormais davantage axée sur la satisfaction des souhaits des consommateurs européens.
L’inconnu rend mal aimé
En 2015, nous avons fait la connaissance de la quatrième et actuelle génération. Les changements avec le modèle précédent n’étaient pas particulièrement importants cette fois, mais la voiture est devenue un peu plus « européenne ». Afin de séduire encore plus le consommateur, une variante break a même été ajoutée pour la première fois en 2016. Que pourrait demander de plus le consommateur européen ? Une marque allemande probablement, car les ventes sont encore en retrait par rapport à la concurrence. Ce que l’agriculteur ne sait pas…
Depuis le dernier lifting en 2018, seule l’Optima SW a été livrée dans notre pays. En 2019, une nouvelle génération de la voiture est apparue. En tout cas, il ne vient plus aux Pays-Bas et il semble même que la ligne de modèles disparaisse de toute l’Europe.