Le Ford E-Transit bénéficie d’une plus grande autonomie et peut se recharger à la vitesse de l’éclair
Gamme solide
Ford offre à l’E-Transit, commercialisé depuis 2021, une solide mise à jour. Les clients peuvent opter pour une nouvelle batterie plus grande, d’une capacité de 89 kWh. La nouvelle batterie offre une autonomie de 402 kilomètres. La nouvelle version est équipée de série d’une pompe à chaleur qui chauffe l’habitacle plus efficacement à basse température, évitant ainsi une chute brutale de l’autonomie en hiver. Selon Ford, le nouveau bloc-batterie fait de cette grande camionnette un excellent choix pour les clients qui parcourent beaucoup d’autoroutes.
Chargement rapide de 180 kW
La nouvelle variante de batterie de la Ford E-Transit peut également se recharger beaucoup plus rapidement. La puissance maximale de charge en courant alternatif – qui permet à un autobus de se recharger sur le lieu de travail, à domicile ou à une station de recharge publique – a été doublée, passant de 11 à 22 kW, ce qui permet de recharger complètement la batterie en moins de six heures. Lors d’un chargement rapide sur l’autoroute, l’E-Transit peut supporter jusqu’à 180 kW de puissance de charge grâce à sa grande batterie. Une charge utile solide, donc, dont une voiture électrique coûteuse n’aurait pas à rougir. Avec un chargeur rapide, la batterie retrouve une capacité de charge de 80 % en seulement 28 minutes.
Version du peuple
Les clients peuvent également choisir parmi différentes longueurs et différents types de cabines pour le Transit électrique. Il existe au total 19 variantes différentes. La capacité de charge utile varie de 1 460 kg à 1 814 kg, selon le type. L’E-Transit sera également disponible en version transport de passagers, avec une conversion approuvée par l’usine de l’E-Transit électrique en bus de passagers. La nouvelle version est conçue pour aider, par exemple, les compagnies de taxis, les écoles et les autorités locales à électrifier leur flotte et à assurer la pérennité de leurs activités. Il s’agit de se conformer à des réglementations plus strictes et aux plus de 350 zones à faibles émissions déjà désignées en Europe, y compris dans toutes les capitales des pays de l’Union européenne.