La Lotus Evija Fittipaldi est un hommage parfait.
Spécial John Player
La livrée John Player Special est une livrée emblématique des voitures de F1 Lotus des années 1970 et 1980. Cette combinaison de couleurs est considérée comme l’une des plus belles livrées du sport automobile. Même si vous n’avez rien à voir avec la course automobile, cela attire l’attention. Cette Lotus Evija Fittipaldi est aussi particulièrement belle.
Hommage à Fittipaldi
Cela fait 50 ans qu’Emerson Fittipaldi a remporté le titre mondial de Formule 1 au service de Lotus, offrant par la même occasion à Lotus le championnat des constructeurs. Le Brésilien a conduit sa Lotus Type 72 pour fouiller tout le terrain. Il a remporté cinq des onze Grand Prix de cette année-là. Détail intéressant, l’aluminium de la Type 72 d’antan a été utilisé pour fabriquer le cadran de la console centrale de la Lotus Evija Fittipaldi.
Un EV puissant
Aussi rapide que la Type 72 ait été il y a un demi-siècle, ses performances ne sont pas tellement meilleures que celles de la Lotus Evija dernier cri. Le Type 72 était équipé d’un V8 rugissant de 400 chevaux. La Lotus Evija, quant à elle, dispose de pas moins de quatre moteurs électriques, un à chaque roue. Par conséquent, la puissance totale de cette supercar EV est de 2 039 ch et 1 704 Nm. Avec cela, la Lotus Evija passe de 0 à 100 km/h en seulement 3 secondes et à 300 km/h en 9 secondes. L’accélération d’arrêt ne se produit pas avant 350 km/h.
Lotus Evija Fittipaldi
Le jeu de couleurs noir et or se retrouve sur toute la voiture. À l’intérieur, vous reconnaîtrez l’Evija Fittipaldi – outre la palette de couleurs – par la signature d’Emerson lui-même. C’était cousu à la main sur le tableau de bord. De plus, de nombreux détails sur l’Evijaa montrent que vous avez affaire à une édition spéciale.
Lotus ne construit que huit exemplaires de l’Evija Fittipaldi Edition, qui ont déjà tous été distribués. Avec la possibilité, bien sûr, qu’Emerson Fittipaldi lui-même en reçoive un. Quoi qu’il en soit, l’ancien pilote était présent lors de l’inauguration de la Lotus portant son nom et, à part dans l’Evija, il a pu reprendre le volant de son illustre Type 72 pendant un moment. Ainsi que l’ancien pilote de Formule 1 Jensen Button.